Il arrivait parfois dans la vie d'un homme le moment ou il décidait que c'était bon, il en avait marre de la vie publique, il voulait se retirer, aller voir ailleurs souffler, respirer, ne plus s'encombrer avec ce qui semblait être le quotidien d'un homme publique. Souvent dans ce monde des royaumes ceux-là qui atteignait le burn-out se retrouvait à se retirer au monastère pendant un loooong moment, il n'avait sans doute pas d'autre solution ou alors c'était pour eux celle la plus évidente, fort heureusement ne n'était pas mon cas.
Il est vrai que j'avais élu domicile à Gy depuis quelques temps et que les sujets de Quingey ne m'avaient pas souvent vu, bien que j'avais pris soin de m'enquerir de leur besoins à travers différents hommes qui mines de rien me suppléait dans la gestion du domaine, non il ne fallait pas que je le laisse dépérir après tout il s'agissait là d'une terre que je chérissait. Depuis Gy, il avait fallu traversé l'Ognon puis longer le doubs passant au passage sur le sol de Sellières terres de mon oncle Leonin, arrivé à Besançon nous avions continuer par l'une des routes pas encore entièrement pavé qui nous mèneraient direction aux berges de la loue, d'où surplombé par une colline on apercevait le domaine, Quingey se trouvait là.
La saison.. bien que n'ayant pas été gâtée en neige rendait la température froide, le sol humide et riche en boue, mais le décor n'en était pas moins champêtre, avec ses larges verdures, et ses bosquets et ce fleuve riche en poisson, il fallait s'adresser à deux hommes avait de traversé la frontière précaution que j'avais choisi de placer à ma longue absence ainsi je pouvait savoir même avec un peu de retard ce qui s'était passé au domaine. Le manoir lui, avait été érigé près de fleuve, avec de grands jardins à soignée et une allée centrale menant à la porte, je voyais dans le regard de ma belle, ce regard que l'on voit dans les enfants lorsqu'on les fait découvrir de nouvelles merveilles et.. j'adorais cela. Ma descendance m'avait accompagné après tout il s'agissait de leur maison aussi, et cela faisait longtemps qu'ils ne s'y étaient plus rendues.
Lorsque nous arrivâmes, la belle sortie au pas de course enfin façon de dire, elle était enceinte rappelons-le.
Wahouuuu mais c'est merveilleux ici, dis tu me fais visiter la maison mon coeurun sourire se dessina dans sur mon visage, un sourire heureux bien que son regard en ce domaine ai d'abord été terni par les souvenirs que j'avais en cette maison, après tout, j'y avais vécu longtemps avec une femme que j'aimais, j'espérais, non j'étais sur ! de pouvoir remplir en ce lieu avec de nouveaux souvenirs toujours aussi joyeux.
Biensur Sa main vient attraper la mienne, elle était heureuse et cela déjà suffisait à balayer tout mes nostalgiques souvenirs, comme dans chaque maisonnée qui se respectes quelques serviteurs étaient sorti pour nous accueillir et s'occuper bien-sur des bagages qui était notre et alors que nous nous avancions vers la porte massive je commençais
Donc d'abord tu vois ici les jardins, je suis heureux qu'ils aient étés bien entretenue en mon absence, j'espère qu'ils te plaisent.De lui sourire largement, sincèrement
Plus tard je te montrerai quelques recoins intéressant, comme le moulin ou la forge, j'y ai souvent frappé l'épée. Mais d'abord entrons.
D'avancer alors, traverser la porte, c'est là messieurs qu'il verraient
hall d'entrée